L’aquarelliste Philippin est né le 4 octobre 1971.
Il a étudié l’art et le design au Sorsogon State College. Illustrateur/graphiste, il a également travaillé dans l’animation pendant 13 ans. Il a 25 ans d’expérience dans la peinture et le dessin.
Pabilando est un aquarelliste multi-récompensé qui a remporté les grands prix du 12e concours d’art du festival d’aquarelle Confluence 2019 en France et du prestigieux concours d’aquarelle Kulay sa Tubig la même année. Ses « peintures de gouttes de pluie » sont devenues son style de signature, rendant ses œuvres rares et uniques. Il est titulaire d’une maîtrise ès arts du TUP et d’un diplôme BSIT du Sorsogon State College. Cet artiste autodidacte travaille principalement l’aquarelle et l’acrylique. Il s’est toujours intéressé à l’art ; dès son plus jeune âge, il divertit ses frères et sœurs en dessinant leurs visages et leurs gestes. Ainsi a commencé son intérêt pour faire des illustrations, des peintures et des portraits.En tant qu’artiste depuis tant d’années, Joie a utilisé l’huile et l’acrylique comme médium, mais il a réalisé à quel point l’aquarelle peut lui offrir des possibilités illimitées d’ajouter des effets spéciaux et des variations à son style.
Roland Palmaerts naît à Bruxelles (Belgique), le 4 octobre 1953.
En 1959, il gagne le premier prix du concours national de dessin TINTIN sur le thème de la fête des Mères. Il est initié par son père (peintre semi-professionnel) aux médiums suivants : crayon, mine, gouache, huile. En 1966, il effectue des études secondaires à l’Athénée Royale de Schaerbeek (Belgique), section « dessin technique – menuiserie – ébénisterie. Il dessine et réalise des meubles de style. Il peint et vend ses premiers tableaux.
En 1969, il s’inscrit à l’Institut Supérieur d’Architecture Saint-Luc (Bruxelles), section « décoration intérieure ». Il exécute ses premiers contrats (conception, plan, …) ; réalise ses premières peintures murales décoratives pour discothèques, …
En 1970, il s’inscrit à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles, section « ensembliers-décorateurs ». Il gagne le premier prix de l’Académie sur le thème du poème de François Villon « La ballade des pendus ». Il se joint la même année à l’équipe de secouristes de la Première Colonne Mobile de la Croix-Rouge de Belgique (secouriste, chef d’équipe, spécialiste en réanimation, ambulancier, service d’urgence, intervention sur les lieux de catastrophes, notamment une catastrophe aérienne).
En 1972, il s’engage comme volontaire au Régiment Para-Commando de Flawinnes (Namur, Belgique).
En 1973, il conçoit et réalise une revue interne. Il collabore au fonctionnement d’un laboratoire photo noir et blanc. Il effectue des murales décoratives. La même année, il s’inscrit à l’Académie Royale de Namur, section « dessin, modèle vivant ».
En 1978, il participe au recrutement des candidats para-commando au Centre National de recrutement (Petit-Château, Bruxelles). Il exécute des peintures sur panneaux pour les expositions. C’est aussi en 1978 qu’il présente sa première exposition solo « Noir de Chine » au Salon ANHYP à Bruxelles. Il crée une société (The Paradise Hunters): création de logo, emblèmes, affiches, sérigraphies.
En 1979, Roland Palmaerts collabore à l’organisation des expositions nationales pour le service des relations publiques de l’Etat Major du régiment. Il produit des affiches et outils promotionnels. Il est détaché auprès de Son Altesse Royale le Prince Philippe de Belgique lors de son entraînement de parachutisme au C.E. de Schaffen. Il émigre au Québec, le 4 juin 1980 et le 7 juin, il débute à l’Imprimerie D. Boulet de Sainte-Julie comme concepteur graphiste, illustrateur. C’est en 1983, qu’il crée « Studio Parole » (conception, graphisme et illustration).
Dès 1984, Roland Palmaerts se consacre exclusivement à la peinture. La même année, il est élu membre de la Société Canadienne de l’Aquarelle.
C’est en 1986 qu’il est reçu membre de l’Association Royale des Artistes Professionnels de Belgique (A.R.A.P.B.). Quatre photolithographies sont produites par IdéeCadre (Montréal).
Hormis les expositions, trois autres étapes jalonnent l’année 1987 : acquisition par la mairie de Longueuil d’un tableau et reproduction en photolithographies exclusives, gagne le premier prix du Cercle des artistes peintres du Québec (jury : Guy Robert, Sam Aberg, Roger Baulu), remise d’une oeuvre au Premier Ministre du Canada par la Chambre de Commerce de la Rive-Sud.
En 1988, Studio Parole produit cette année une série de photolithographies. Roland Palmaerts devient membre du Jury de l’Association des peintres de Ville Lasalle et est élu membre de l’Institut des Arts Figuratifs du Québec (I.A.F.).
En 1989, il réalise l’oeuvre des Mercuriades, commandée par la Galerie René Savoie pour le compte de l’Association des Banquiers Canadiens. Il effectue la conception du programme du Gala Hommage à Fernand Nault, chorégraphe des Grands Ballets Canadiens. En 1990, Roland Palmaerts est élu membre de l’Institut Européen de l’Aquarelle.Il devient membre du Jury de l’exposition organisée par la Fondation de l’hôpital Charles Lemoyne de Longueuil en 1991. Est « artiste invité » au Symposium de Baie-Comeau. C’est aussi en 1991 qu’est lancée une monographie aux Editions De Mortagne. Est élu président de l’Institut des Arts Figuratifs (7 ans durant). De 1992 à 1999, son parcours est jalonné de nombreuses expositions.
En 1999, il fête sa 100ème émission télévisée sur Canal 4 (Canada). Art Vidéo Europe sort la deuxième cassette vidéo sur le thème de la « Dynamique et créativité à l’aquarelle ». Daler Rowney produit une pochette de pinceaux pour l’aquarelle « Palmaerts 2000 ». Note additionnelle : les expositions qui jalonnent le parcours de Roland Palmaerts ainsi que des photos de son atelier au Canada sont reprises dans deux pages spécifiques du site.( site de Roland Palmaerts)
La qualité de son art attire l’attention de connaisseurs et ses tableaux figurent dans plusieurs collections prestigieuses (Bell Canada, Bourse de Montréal, Banque Laurentienne, … – liste complète sur demande via e-mail) ainsi que dans de nombreuses collections privées au Canada, aux Etats-Unis et en Europe. De plus, il est représenté par de multiples galeries canadiennes et européennes.
L’oeuvre de Roland Palmaerts est avant tout spirituelle et philosophique. Comme si l’existence, pour l’artiste, était la pointe visible d’un iceberg. Livré corps et âme à son art, Roland Palmaerts aime les contrastes. Dans son art, les frontières de la réalité et du rêve s’interpénètrent. Que l’on contemple ses portraits, ses paysages, ses scènes maritimes, ses scènes de rue ou d’intérieur, ou encore des compositions fictives puisées dans les souvenirs de l’artiste ou dans son imaginaire, on remarque que Roland Palmaerts a dépassé l’utilisation traditionnelle de l’aquarelle. Ses œuvres atteignent une intensité peu fréquente dans l’art de la peinture à l’eau.
Grâce à ses nombreux voyages et à sa formation européenne, Roland Palmaerts a acquis une grande maîtrise de la lumière. Qu’elle représente un paysage ou une allégorie surréaliste, l’image est toujours dominée par une grande douceur, qui sert le message d’amour universel que l’artiste veut transmettre. Il anime régulièrement des cours et stages d’aquarelle ainsi que des conférences et des démonstrations publiques au Québec et en Europe.
Jean-Claude Papeix, typographe et photographe, originaire de Limoges, se consacre entièrement depuis 1990 à sa passion, l’aquarelle.
Il participe, chaque année, à plusieurs salons internationaux de l’aquarelle et dirige de nombreux stages de formation.
« Amoureux depuis toujours des couleurs, j’ai peint à la gouache dans ma plus tendre enfance. Inspiré par les maîtres, j’essayais de reproduire leurs œuvres. Les impressionnistes m’ont passionné très vite avec leur gestion de la lumière. Claude Monet, en particulier, me fascinait.
Complètement autodidacte, je me suis mis à peindre à l’aquarelle dès les années 90. J’ai participé à de nombreux salons…
…Mon travail est surtout axé sur une recherche permanente pour obtenir toujours plus de transparence et de lumière dans la peinture des fleurs, mais aussi des paysages, des personnages, des animaux. »
Une première esquisse au crayon délimite sur la feuille blanche les contours de ce que sera la future aquarelle avant que la magie de l’eau et de la couleur ne fasse le reste avec sous le pinceau tenu par l’artiste. Il aime jouer avec la mouvance des fluides, la circulation de la lumière, les aléas de l’eau (mers, rivières et étangs), de la rue, de la douceur et de la légèreté des fleurs (particulièrement les roses), aux couleurs, tout en nuances et raffinement.
Autant de précieux éléments pour recréer l’atmosphère d’un moment ou pour transmettre l’émotion de l’instant. Jean-Claude Papeix est un peintre figuratif en aquarelle.
Très attaché au Limousin, il ressent le besoin de reproduire sur le papier les impressions de ces lieux qui sont familiers aux habitants du territoire, où chaque détail lui est intime et la lumière précieuse
Peintre pastelliste
Source d’émotions, l’univers graphique a toujours exercé sur Jean-Charles Peyrouny une fascination.
Il a commencé à dessiner bien avant d’apprendre à écrire.
Un jour, à douze ans, il accompagne son père chez des illustrateurs et s’installe sur un coin de table, observe l’activité de ces artistes qui vivent de leurs crayons et pinceaux, il contemple à loisir les rouleaux de papier et les cartons à dessins. Le virus s’immisce en lui.
A seize ans il se destine aux Arts Appliqués. Les aléas de la vie lui font prendre une tout autre direction. Il devient dessinateur industriel et il embrasse une carrière dans l’industrie. Dès lors le dessin artistique n’est plus qu’un hobby.
C’est en 1998, lassé de la vie trépidante de la capitale, qu’il décide de rejoindre la terre de ses ancêtres, la Dordogne. Associé au peintre Robert Billant au sein de l’Académie Pictura, à Bergerac, il y crée une section où il enseigne le dessin et le pastel et il entame une carrière de peintre pastelliste.
Autodidacte, j’ai toujours été attirée par le dessin, discipline pour laquelle j’ai suivi des cours pendant mes loisirs afin d’en apprendre les différentes techniques. Je me suis essayée aux techniques de l’aquarelle, de la peinture acrylique, puis du pastel.
Le contact direct avec la matière, ses côtés velouté et sensuel m’ont rapidement séduite. Le pastel est devenu une passion. Mes maîtres de formation sont les pastellistes talentueux : Patrick Bechtold, Pénélope Milner, Sophie Amauger, Peter Thomas et Michel Breton.
Je pratique cette technique depuis plus de 10 ans. Je suis inspirée par les émotions que me procurent mes promenades dans la nature et en bord de mer (Bretagne). Les paysages riches en couleurs, les ciels nuageux aux tons pastel, la mer mouvementée ou les cours d’eau paisibles ne me lassent pas. L’eau est devenue un sujet de prédilection.
Ma démarche artistique : interpréter selon mon ressenti de pastelliste les instants magiques et colorés capturés à travers mes photographies.
J’aime aussi installer mon chevalet en pleine nature pour peindre sur le vif.
Je suis membre de : Art du Pastel en France, Société des Pastellistes de France, Pastel en Périgord, Pastel en Bourgogne, Pastel d’Opale, Pastel en Yvelines, PSEC (Société de pastel de l’Est Canada), Pasit Italie, Cercle des ArtistesbEuropéens.
Collaboratrice revue Pratique des Arts.
Avec l’animation d’ateliers artistiques ou de stages ponctuels, je prends plaisir à transmettre ma technique du pastel en guidant chaque personne désirant s’exprimer par l’art dans un esprit de convivialité.
Alain Ponçon est né en 1947 à Moigny (91). Son atelier est situé à Saint-Maur-sur-le-Loir (28) France.
Depuis sa première exposition, en 1971, à la Ferté-sous-Jouarre (77), ses oeuvres ont beaucoup voyagé aussi bien en France qu’à l’étranger. Son besoin de ruptures le pousse à travailler simultanément plusieurs séries. Il puise le substrat dans son propre vécu, dans sa sensibilité au présent, et exprime son ressenti dans une écriture poétique à plusieurs niveaux de lecture. Son univers est bien identifiable : il revêt des couleurs qui, pour être souvent vives, ne parviennent pas toujours à dissimuler la complexité d’un contenu où se mêlent la solitude, le rêve, le couple, les problèmes de l’Humain élargis aux interrogations sociétales.
… J’utilise l’acrylique pour les sous-couches et l’huile pour les couches supérieures. Je n’ai jamais pu abandonner l’huile malgré le long temps de séchage. Cette lenteur ne suit pas toujours le rythme de la création mais permet le dialogue avec le tableau.
L’origine d’une peinture est complexe. Chaque peinture a son histoire. Mon grand livre de toiles suit une chronologie imprévue, chaotique, mais non dénuée de signification.
… Cela commence par une envie qui se prolonge par quelques traces de fusain que je dessine ou efface au gré de mon ressenti, démarche déterminante pour la réussite de l’œuvre, puis je superpose les couches de peinture, jusqu’à, parfois, saturer les couleurs… J’aime faire un maximum de lectures de mes peintures ainsi réalisées, sans refuser pour autant l’ambiguïté. La réalisation d’un tableau peut prendre plusieurs mois ou quelques heures. Le temps ne fait rien à l’affaire….
… Je me nourris de nuages et de vent, de rencontres qui m’aident à découvrir et à montrer ces humains ordinaires et pourtant si extraordinaires porteurs de solitude, de tendresse, d’émotions, de dérisoire, de rêves, de blessures connues et inconnues, tous soumis au temps qui passe…
… Conscient des bouleversements mondiaux qui nous projettent dans un avenir technologique, économique voire culturel incertain – progrès ou régressions dont on ne peut toujours déceler les contours – je peins dans l’ombre de ma grotte… Alain Ponçon 7 septembre 2016 (Extraits)
Peintre expressionniste attiré par Emile Nolde, Jawlinsky, Kandinsky et Permeke dont il retiendra le cerne noir, il se lie d’amitié avec Berthold Brecht qui lui apporte l’hospitalité durant 10 mois.En 1951, il quitte l’Allemagne pour Paris, y séjourne quelques mois puis descend vers le Sud et s’arrête à Villeneuve-lès-Avignon. Cette même année, sa peinture toujours aussi fauviste, à la manière du Bauhaus, devient totalement cubiste au contact de Picasso qu’il rencontre à Arles à la suite d’une corrida en 1952. Il passera sept mois en sa compagnie à Vallauris. Il se rapproche des théories de Brecht qu’il ne quittera plus tout au long de sa carrière de peintre. La précision, la simplification, le juste objet à sa juste place, telle sera sa conception picturale.
Il est remarqué par Emmanuel David qui le prend sous contrat en 1957. En 1958, la lumière du Midi, le caractère insoumis d’Oppède-le-Vieux dans le Luberon, où il a acheté une demeure médiévale, transforme sa vision du paysage.
Jusqu’en 1970 sa peinture était le reflet d’une certaine conscience du monde extérieur. A partir de 1970, un tournant se fait dans sa peinture : la « forme » devient plus symbolique. Il a besoin d’introduire une nouvelle vision de la réalité et de l’espace. Ce qu’il peint est une exploration d’un autre monde. Le cheval est omniprésent, les traits de perspectives sont autant de chemins à prendre. Les volumes fermés, les roches dans l’espace, la femme à tête d’aigle sortant de la terre, ne sont pas que des symboles mais l’expression d’une pensée profondément réfléchie. Elle nous amène vers l’au-delà, vers un monde qui nous entoure et que nous ne voyons pas. Et c’est ainsi que le château de Val, dernière œuvre de sa vie, semble traverser l’espace, planté sur une météorite et flanqué d’un arbre venu d’ailleurs. Seule une walkyrie aux ailes déployées et prête au combat, est venue se planter sur la passerelle pour protéger Val de ses assaillants.
Priking est mort peu de temps avant le vernissage de son exposition à Val le 10 Juin 1979. Emmanuel David est venu spécialement faire un pèlerinage au château pour rendre hommage à son peintre.
Né en 1957 en Ukraine, Slawa est diplômé de l’Académie des Beaux-Arts de Kiev et de l’Institut National d’Art d’Odessa en scénographie.
Dans ses peintures Slawa allie la délicatesse à la justesse du trait pour nous régaler avec des œuvres émouvantes qui évoquent la Renaissance italienne.
Dirigeant une Académie de peinture, il a l’habitude de l’enseignement et interviendra aux côtés de Viktoria.
Vous apprécierez ses explications théoriques et ses extraordinaires démonstrations de portraits de femmes.
Site internet : http://prischedko.de
Viktoria Prischedko est née à Kischenjow, en Moldavie.
Diplômée de l’Académie des Beaux-Arts de Kiev et de l’École d’architecture du Monument à Trieste, elle s’est ensuite tournée vers l’aquarelle et est membre de l’Association des Arts Plastiques et de l’Institut Européen de l’Aquarelle.
L’artiste a obtenu de nombreux prix et distinctions en Allemagne, France et Belgique, notamment lors du Salon de L’Aquarelle de Namur, en 2005.
Site internet : http://prischedko.de