Cyril Olanier est né à Saint Brieuc, le 25 décembre 1966.
Il a étudié à l’école des Beaux-Arts au Mans et à Nantes.
De 1998 à 2001, il a enseigné à l’ENSAD à Strasbourg, puis de 2001 à 2004 à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Toulouse.
Corps de femmes, visage surpris en pleine jouissance, traits impassibles ou endormis, postures figées comme embaumés, les tableaux de Cyril Olanier sont autant de boîtes à images, de
« peintures-cages » qui, au premier regard, semblent s’adresser à notre seule libido.
Passée cette évidence qui n’est qu’un leurre, l’insaisissable séduction de son travail repose sur le sérialisme des motifs peints, la symbolique de la rose, l’ambiguïté de cette peinture basée sur le gommage partiel des clichés qu’elle reproduit.
En solo, ou dans le cadre d’expositions collectives, il présente son travail depuis 1990, notamment à Londres (BCA Gallery – London Art Fair – Osborne Samuel Gallery), à Vienne (Galerie Lang-Wien), à Pékin (Bejing Art Fair – galerie Lang), à New York (Ambassade de France), Oslo (Christian Dam Gallery) et en France dans de nombreuses galeries (dont la Galerie 21 à Paris), Frac, etc…
De son vrai nom, Cyril Valade,est né en 1987 dans le Sud de la France.
Il passe une partie de son enfance en Afrique où il fait ses premières rencontres avec l’art et y découvre l’aquarelle
De retour en France à l’adolescence, il fait connaissance avec le graffiti parisien lors de ses balades autour de Paris avec ses parents. Les bords des autoroutes ainsi que les métros parisiens sont de véritables musées pour lui. Ce véritable coup de foudre le pousse à arpenter plus tard les terrains vagues ainsi que les voies ferrées et les entrepôts désaffectés afin de peindre sur des murs et se perfectionner à l’abris des regards.
Après le lycée, il décide d’entreprendre des études d’art en intégrant une école de design, mais préfère poursuivre sa route en autodidacte. Petit à petit, il passe du mur à la toile, et c’est poussé par son entourage, qu’il commence à montrer son travail et exposer ses toiles au gré de ses rencontres dans des hôtels de luxe, restaurant, bars…
Il organise ensuite ses premières expositions dans les environs de Bordeaux ainsi que dans la région parisienne. Du chemin a été fait depuis ses débuts dans les rues, et il expose désormais dans de nombreuses galeries d’art internationales. Onemizer a participé avec une centaine d’autres artistes internationaux au record du monde du plus grand graffiti sur toile qui s’est déroulé à Dubaï en Novembre 2014 et qui a été validé afin d’apparaître dans le Guiness book.
Onemizer puise son inspiration dans les classiques du pop art tels que Basquiat, Warhol… ainsi que tout simplement dans sa vie quotidienne, ce qui l’entoure, et dans la scène street art. Il aime travailler les lettrages, revisiter les portraits de personnalités ou objets qui ont marqué l’Histoire ou son histoire personnelle. Avec le temps, il développe un large panel de styles différents, combinant toujours du graffiti, du tag, des « coulures », et surtout une multitude de couleurs. Il utilise un large éventail de techniques différentes : bombes de peinture, pochoirs, dessins, marqueurs posca, pinceaux, encre, et parfois même directement ses mains. Il renouvèle constamment son art, aime changer les techniques, changer de support… C’est l’impact visuel et le choc des couleurs qui rendent chacune de ses toiles plus originales les unes que les autres.
Né en 1957 à Tchernihiv, la capitale de la province ukrainienne de l’oblast de Tchernihiv. Ses études artistiques ont été encouragées et soutenues dès son plus jeune âge par son père.
En 1979, il est diplômé de l’institut des arts de Kiev et devient membre de l’union des arts russes. La réglementation des arts par l’état sous l’union soviétique a encouragé Onishenko et de nombreux autres jeunes artistes à se rebeller et à former un collectif d’artistes illégaux, qui se trouvait dans le monastère Yeletsky. En 1981, Onishenko et plusieurs compagnons déménagent dans le quartier Tevriz d’Omsk Provence en Sibérie.
Après six ans « d’exil de soi », il retourne en Ukraine en 1987. Fuyant l’agitation politique croissante dans les années précédant la chute de l’Union soviétique, il s’installe quelques temps en Yougoslavie avant de partir pour Prague, en République tchèque, en 1991. Après des années de peinture sur le célèbre pont Charles, face à son succès, il ouvre sa propre galerie en 1994 (Galerie Jakubska) dans la vieille ville de Prague.
Onishenko réside actuellement à Prague et est devenu l’un des artistes les plus accomplis de la ville, recevant à la fois le prix Franz Kafka et le prix Masaryk Academy of Sciences.
Le style des signatures de son travail impressionniste se fait par l’utilisation exclusive du couteau à palette et la peinture sur des toiles noires. La description faite par l’artiste de son propre travail de « nouvel impressionnisme » ne doit pas être confondue avec le pointillisme du néo-impressionnisme. Sa propre distinction réside dans l’utilisation d’une technique de peinture d’empâtement traditionnelle dans laquelle la peinture est appliquée en quantité texturée lourde et parfois même mélangée directement sur la surface de la toile, tandis qu’en même temps Onishenko s’écarte radicalement de l’impressionnisme traditionnel en commençant sur un terrain -surface noire. Ce renversement du processus de peinture – passant de l’obscurité à la lumière – apporte avec lui le haut niveau de contraste et de dynamisme des couleurs pour lequel les peintures de l’artiste sont connues. Il dépeint une grande variété de sujets dans son travail. Still Lives, nus, land and cityscapes. Mais au fil des ans, l’un de ses motifs les plus célèbres est resté ses peintures en perspective à vol d’oiseau des toits de Prague.