Né à la fin des années 50 en Haute-Savoie. Il a commencé à peindre dès l’âge de 14 ans. À 17 ans, il envoie un dessin aux Éditions Dargaud qui lui ouvrent les portes de l’atelier de création pour Lucky Luke. Il collabore avec Morris et dessine l’album « Daisy town ».
Suivent quelques années de création de dessins de presse et d’albums de bandes dessinées. Il se consacre exclusivement à la peinture en 1991.
L’artiste travaille, à l’huile et au pastel, le paysage, le portrait, la nature morte, le bouquet, les animaux. Ses chevaux lui permettent d’approfondir l’idée du mouvement.
Maître pastelliste de la société des pastellistes de France depuis 1997, Pascal Dabère travaille de plus en plus la technique mixte, acrylique, pastel, huile, souvent sur un fond plutôt abstrait pour mettre en valeur le sujet. « Je cherche à traduire mes sensations à travers l’espace-temps, cela me procure un bien-être incomparable, une sorte de devoir accompli » confie l’artiste.
L’artiste puise son énergie créatrice dans les éléments de la nature, sources de poésie et d’inspiration. « C’est avec la nature que nous trouverons le second souffle dont nous avons besoin », confie-t-il. Il explore ses sujets, natures mortes, paysages, fleurs et bouquets, animaux, en exaltant leur puissance ou leur fragilité. « Mes sujets sont exprimés de manière très différente. Pour les chevaux comme pour Venise, par exemple, je les travaille plutôt sous forme de croquis, alors que mes fleurs et natures mortes sont de facture plus classique », explique l’artiste. Les chevaux sont des sujets qui demandent beaucoup d’énergie. Le peintre a étudié l’anatomie des équidés et intériorisé les images, pour en traduire le mouvement, « à partir du souvenir du cheval ». Les œuvres de cet artiste atypique, maître pastelliste de la société des pastellistes de France, expriment une formidable modernité, tout en faisant référence au passé. Elles sont présentes dans de nombreuses collections en France et en Europe, ainsi qu’au Japon, aux États-Unis, à Taïwan, à Hong Kong, en Malaisie, au Canada et en Afrique du Sud.
C’est dans son Finistère qu’il a, dès son enfance, ses premiers contacts avec la peinture dans l’atelier du peintre concarnois Ravallec où il vient le vendredi, jour de marché, respirer les effluves de l’essence de térébenthine en regardant le maître au travail derrière son chevalet. Plus tard, à l’adolescence, il découvre à Pont-Aven les paysagistes Savigny, Couliou et bien d’autres qui le motivent à travailler en plein air. Lors d’une de ses premières expositions, il rencontre le peintre Toffoli qui l’encourage et le conseille. Après avoir pratiqué à l’huile et à l’aquarelle, c’est la révélation du pastel en découvrant lors d’une exposition le magnifique travail du peintre de la marine et sculpteur, Jacques Coquillay. C’est alors décidé, il sera lui-même pastelliste.
« Je suis né en 1954 et j’ai commencé à peindre à l’âge de 20 ans.
La beauté de la nature m’a motivé à devenir peintre paysagiste.
Après l’apprentissage à l’huile, puis à l’aquarelle, j’ai découvert depuis quelques années, le pastel et me suis spécialisé dans cette magnifique technique si bien adaptée au rendu des lumières.
Ces bâtons de couleur me permettent de travailler sur le motif, principalement en Bretagne où je puise l’essentiel de mon inspiration.
Mes sujets favoris sont les paysages et mon unique médium, le pastel sec. J’applique le bâton de pigment sur un papier rugueux et par mélange, estompe ou juxtaposition, je donne l’illusion de la troisième dimension.
Pour réussir mes paysages, plusieurs conditions s’avèrent nécessaires : la composition, c’est à dire sélectionner et mettre en valeur son motif par la construction, les contrastes des tons et l’effet de la lumière ; l’émotion première est aussi gage de succès, la main retranscrit ma propre sensibilité. »
Elève de CHRIS, Maître Pastelliste de la société des Pastellistes de France.
Née le 1er février 1969 à Aix en Provence
Rebecca de Cachard est une peintre française établie qui a exposé son travail à l’échelle nationale. S’inspirant de philosophes tels que Bachelard et Jung, ses derniers travaux mettent en lumière des silhouettes humaines et végétales travaillées en ombres chinoises. L’expression artistique de Rebecca de Cachard capture finalement des moments de joie et une dynamique humaine fascinante.
Sa curiosité débordante pour la matière et les couleurs, son besoin de dépasser ses limites et sa capacité à se remettre en question vont l’orienter petit à petit vers l’expressionnisme abstrait lyrique.
L’abstraction lyrique c’est le mouvement, la gestuelle et l’énergie du moment grâce auxquelles on peut créer. Rebecca construit ses toiles de façon intuitive, ses émotions sont exprimées directement sur la toile de manière spontanée en écoulant la peinture ou en la projetant. On donne le terme de « Dripping ». Ces toiles sont réalisées à la fois en position verticale et horizontale.
« Je souhaite que mes toiles soient un hymne au bonheur, un message d’amour, un fil conducteur vers un sentiment de liberté. Un espace à la fois aérien et solaire. »
ETUDES :
1996 Bac F12 à Brest
1997-99 École des Beaux-Arts de Cornouaille à Quimper
2002-03 École supérieure de l’Image à Angoulême
L’atelier d’artiste de Thomas de la Pinta est installé à Rezé. Après deux années aux Beaux-arts à Quimper (Finistère), il a été formé à l’école de bande dessinée d’Angoulême (Charente).
Thomas de la Pinta a beaucoup pratiqué la gravure, mais depuis quelques années, il s’est mis à la peinture.
Il expose depuis 2004 dans de nombreux salons et festivals
EXPERIENCES PROFESSIONELLES ET ARTISTIQUES :
1995-2010
ILLUSTRATION :
– « Sur les pas de ST Augustin » de Kebir Ammi -éd. Presse de la Renaissance.
– « Itinéraire en Provence » et « itinéraire en Provence Oriental »
de L.E.Fritch-éd.La table Ronde.
– « Offrande à gala »de Ode-Pactat-Didier-éd.Le Cygne d’O.
– Collectif » La Fontaine en BD » -éd. Petit à Petit.
STAGE :
-Animation de stage de Gravure et de Bande Dessinée.
TAILLEDOUCIER:
Tirages de Gravures pour: Philippe Vandenberghe, Carmelo de la Pinta, Gwenh’lan Le Scouezec, Luc Le Beau, Laurent Schkolnyk et l’imprimerie Tanguy à Paris.
Peintre autodidacte aquarelliste du Pays Basque, je débute l’aquarelle en 1999 avec les cours de Patrick Larcebal (superbe aquarelliste Basque), puis peins plusieurs années au rocher de la Vierge (Biarritz) puis sur la Place Louis XIV (St Jean de Luz) qui me permet de progresser avec la peinture de plein air, en 2011 je cesse cette activité extérieure et commence à donner quelques stages, membre de la Société Française de l’Aquarelle, président de l’association Aquarelle Plein Air France – APAF.
J’exerce une activité de peintre aquarelliste à plein temps depuis 2007. Adepte de la peinture en extérieur, je cherche à rendre l’atmosphère et les émotions ressenties, la lumière et la transparence, par des jeux de contrastes puissants et riches en couleurs. Pouvoir traiter tous les sujets de manière égale est le signe que l’on commence à maîtriser ce médium très attachant. J’apprécie l’aquarelle par-dessus tout pour la conception mentale qu’elle entraîne et cette perpétuelle remise en question que l’on éprouve dans la maîtrise de cette technique si difficile où l’on ne contrôle pas tout.
Président d’Aquarelle Plein Air France (APAF)
Membre de la Sociéte Francaise d’Aquarelle (SFA)
Maître de stage à la Croisière des Arts 2011
Publications presse : Pas à pas dans « Peinture & Dessin » et « Aquarelle facile », articles dans « Pratique des Arts » et « L’Art de l’Aquarelle ».
Peintre, écrivain, chanteur, compositeur, poète. Tel un funambule marchant sur la trame d’un imaginaire source de créations, Richard Deblauwe sillonne diverses formes d’expressions en lesquelles l’on décèle un goût transpersonnel permettant à chacun de dépasser les limites, les carcans que les multiples conditionnels déposent sur les épaules de l’homme.
La connaissance de soi, l’autonomie, une liberté accompagnent les lois de l’impermanence.
Musique, chansons, poésie, peinture, conférences, stages, sont les multiples facettes d’un retour à la liberté d’être. Aller au-delà de l’illusoire, au plus profond de soi pour vivre l’art de façon holistique, le long d’une quête sans fin où l’être est construit par son oeuvre autant qu’il la construit. S’écarter du conformisme pour goûter à la simplicité intuitive nous plaçant dans l’approche d’une vie où la quintessence de multiples cultures a déposé les graines au sein d’un creuset harmonique.
Vie, découverte de soi, création… Tel un semeur de sons, de mots, d’images, Richard Deblauwe longe les sillons du silence en attente d’expression.
Émotions, instants colorés, les peintures de Richard Deblauwe sont des moments de vie en lesquels l’imaginaire et le vécu déposent leur empreinte. L’état d’esprit lors de la création devient respiration… une inspiration que la sensibilité véhicule, puis une expiration que le corps emploie pour placer sur la toile un aspect de la vie. L’instant où la peinture prend naissance est fruit d’un mariage vibratoire. Support de méditation, apport énergétique, l’art peut ouvrir les portes de l’harmonie.
[SOURCE : http://www.artsconscience.com]
« Entre impulsions émotives et réflexions artistiques, Sylvie Demay tisse les parois de son univers artistique avec les joies, les doutes, les révélations inconscientes et les perceptions intuitives inhérentes à sa créativité… Ainsi, ses toiles se parsèment de tous les voyages intérieurs éprouvés, qui ont laissé des traces d’infini, d’ombres et de lumières, de luttes et de douceurs et de sentiments contradictoires, comme la vie… »
Patrice de La Perrière.
Georges Emile Denorroy peint depuis 1964. Toujours fasciné par la mécanique quantique, il recompose les images en peinture à huile et au pastel dans un bouillonnement de matières vibrantes, gourmandes. Les griffures à la spatule, les coulures, les projections, les empâtements restituent le processus de la vie. Les animaux, les portraits humains très typés, les paysages urbains surtout sont prétextes à sa méditation énergétique et colorée.
Il a exposé dans de nombreuses galeries en France, en Belgique, au Etats-Unis, en Hollande. Depuis 2016 dans la galerie Zee-art à Strasbourg. Il expose avec la société des pastellistes de France depuis quelques années.
Artiste Française. Elena Duchêne est née et a grandi dans la ville ukrainienne de Dnepropetrovsk.
Elle a étudié à l’École des Arts académiques de 1983 à 1987.
Elle pratique le pastel sec depuis 7 ans.
Membre de la Société des Pastellistes de France et Art du Pastel en France, Oléna Duchêne peint principalement des natures mortes.
En 2012, elle se marie et s’installe en France.Ses belles peintures florales varient entre l’aquarelle et les peintures au pastel.Ses coups tracés sont simples, délicieux et rêveurs. « J’aime beaucoup les infinies capacités des pastels. Chaque jour, trouver le courage pour me dépasser. J’aime la vie et les choses simples qui en font une merveille. Le plus important pour moi, c’est l’émotion que l’on veut transmettre. »
Membre de la Société des Pastellistes de France et Art du Pastel en France, Oléna Duchêne peint principalement des natures mortes