Peintre Officiel de la Marine nommé en 2010.
Peintre Officiel des Armées nommé en 2000.
Peintre Officiel de l’Air et de l’Espace nommé en 1996.
C’est l’amitié puis la découverte de l’art de la peinture qui ont poussé Jacques Rohaut à fréquenter dans les années 70, l’atelier de Philippe Lejeune à Etampes pendant ses études de droit. Il a aussi travaillé chez un restaurateur de tableaux.L’émulation au sein de ce qui est devenu «l’Ecole d’Etampes» lui a permis de poursuivre l’apprentissage
nécessaire avant de réaliser de nombreuses expositions personnelles : la première en 1984, à la Fondation Taylor (Paris), puis à l’Orangerie de Villeroy, au Salon VIP des liaisons aériennes ministérielles à Villacoublay, à Düsseldorf, à la galerie Saint-Roch (Paris), au Musée de l’Ordre des Avocats (Hôtel de la Porte à Paris), à l’Hôtel duConseil général d’Eure et Loire (Chartres), dans la tour Jehan de Beauce de la cathédrale de Chartres, au Musée d’Etampes, à la galerie Inès Bonlieu, à la galerie Ad Solem (Saint-Germain en Laye), et régulièrement depuis huit ans à la galerie Philippe Fregnac (Paris).
Invité d’honneur de plusieurs Salons en province, il participe aussi régulièrement aux grands Salons parisiens : Artistes Français, Automne, Comparaisons.
Son talent en peinture est multiple, englobant aussi bien le portrait, le paysages ou les scènes de genres, le travail sur le motif, le modèle vivant, dans les coulisses d’une représentation théâtrale en train de se jouer, comme d’après photographies, rendant son enseignement riche de cette expérience multiple.
Son métier d’avocat exercé à Paris depuis trente ans, au sein du cabinet Ader Jolibois, lui a inspiré nombre de tableaux dont la vie judiciaire et les palais de justice ont été le prétexte ; son pays de naissance, le Maroc lui a permis de retrouver les lumières qui composent habituellement ses toiles ; l’air et la mer sont une autre source d’inspiration.
Né en 1945 à Paris
Peintre titulaire de la Marine nommé en 2003(agréé depuis 1991)
Elève aux Beaux-Arts, il a progressivement abandonné l’architecture pour l’aquarelle en plein air et la peinture.
L’homme est un marin de longue date qui navigue sur sespropres bateaux dans le Finistère Nord, il a une prédilection pour la mer forte, les rafales de vent, les étraves dans la houle, les brisants sur les côtes, les lumières fugitives dans un ciel chargé.
Sa peinture puissante et généreuse, n’est pas sans rappeler celle de Gaston Sébire; elle a l’odeur enivrante du goémon et porte le sceau des côtes sauvages de son enfance.
Il préfère peindre sur le motif, boude l’atelier et est devenu maître dans l’art de saisir sur le vif des lumières et des mouvements.
Rares sont ceux qui, comme lui, décèlent avec justesse et équilibre la magie des lieux et des instants.
En digne successeur de Marin Marie, sa peinture est très imprégnée de ses courses en solitaire mais tous les sujets lui sont bons (avions, paysages, natures mortes…)